Quel toit choisir pour sa véranda : quelques conseils

Quel toit choisir pour sa véranda : quelques conseils

    1/2

    Votre projet



    Besoin d'un architecte ou maître d'oeuvre

    Décrivez votre projet travaux


    * Champs obligatoires

    Suivant

    2/2

    Vos coordonnées





    Précédent

    * Champs obligatoires

    Depuis le 18ème siècle, les Français ont un véritablement pour les travaux visant à agrandir sa maison avec une véranda ou une extension verrière. En revanche, les technologies, elles, ont évolué… et heureusement. Mais si les vérandas sont de superbes extensions de maisons individuelles, le choix de la toiture de sa véranda est toujours aussi délicat. Vitré ? Plein ? Semi vitré ? Vitrage autonettoyant ? Nos conseils pour bien choisir.

    Choisir son toit de véranda : un compromis lumière/isolation/prix

    Bien évidemment, quand on pense extension véranda, on pense immédiatement à un toit entièrement vitré qui permet de se prélasser au milieu de ses plantes, dans un bon fauteuil, lisant un livre en étant baigné de soleil… Certes. Ceci dit, c’est négliger le fait que :
    • Le verre est lourd et demande une structure extrêmement solide ;
    • Le verre est cher ;
    • Le verre n’est pas très isolant nativement ;
    • Un toit entièrement vitré demandera un entretien considérable ;
    • Un toit de véranda entièrement vitré risque de créer une véritable serre…
    Faut-il pour autant renoncer à un toit de véranda entièrement vitré ? Pas nécessairement : en choisissant des verres de haute qualité qui limitent la chaleur du soleil tout en laissant passer la lumière, à isolation renforcée, autonettoyants et en y ajoutant des stores vous contournerez ces défauts et profiterez d’une belle véranda lumineuse et entièrement vitrée… mais au prix d’une facture bien plus élevée. Cette solution est à proscrire dans le sud où l’ensoleillement est trop important.

    Mais vous avez aussi la possibilité d’opter pour un toit de véranda semi-vitré : classiquement il s’agit d’un toit plat opaque extrêmement isolant dans lequel est inséré un puits de lumière. Cette solution intermédiaire est excellente dans les régions fortement ensoleillées pour éviter de cuire dans sa véranda ou dans les régions froides pour limiter les déperditions de chaleur.

    La solution la plus économique sera d’opter pour un toit en polycarbonate : il laisse passer la lumière sans être transparent, évite l’effet de serre, est assez bon isolant, réduit le bruit lié à la pluie et coûte très peu cher. En revanche, il est souvent moins esthétique et vieillit moins bien.

    Le vitrage autonettoyant

    Qui dit véranda dit surface vitrée importante… et donc de belles sessions de nettoyage en perspective ! Réfléchissez donc au vitrage autonettoyant. Ce type de vitrage réduit considérablement l’entretien : le soleil (par photocatalyse) détruit les saletés organiques et rend le verre hydrophile ce qui permet de le laver grâce à la pluie ou à un simple arrosage.

    A noter :

    • Pour que le verre soit autonettoyant, il doit être exposé au soleil ;
    • Le verre autonettoyant ne dispense pas d’un nettoyage manuel, il limite seulement l’encrassement des vitres.