Si vous ne pouvez pas agrandir à l’horizontal, pensez à la surélévation de maison !
Projet d’ampleur par excellence, la surélévation permet de gagner de nombreux mètres carrée quand la maison devient trop petite. Et quand la surélévation est totale, elle permet même de doubler la surface habitable. Alors plus besoin de déménager. Pour mieux connaître cette technique, nos experts vous expliquent les étapes de la surélévation.
Définir le projet : première étape de la surélévation
Totale ou partielle, aménagement de combles ou véritable étage supplémentaire ? Cela dépend de l’espace additionnel que vous voulez.
Dans le même matériau que l’existant ou dans un autre, tout en conservant une harmonie visuelle ? Vos choix esthétiques pourront être réévalués puis validés quand votre architecte vous présentera les plans 3D.
Faudra-t-il aménager une salle de bains ou simplement des chambres ? Ce choix va inévitablement impacter le prix de votre surélévation.
Tous ces choix dépendent de vos envies et de votre budget. Le premier rôle de nos architectes est d’écouter vos attentes et de faire en sorte de vous proposer LA solution adaptée à votre budget.
Les étapes administratives : autorisation et informations au voisinage
Évidemment, une surélévation ne s’improvise pas du jour au lendemain. Le plan local d’urbanisme (PLU) est un document de planification de l’urbanisme d’une commune. La hauteur des bâtiments y est fixée et vous pouvez ou non y être contraint.
Selon la surface additionnelle, une déclaration préalable ou un permis de construire devra être délivré pour votre projet.
- La déclaration préalable concerne les travaux d’extension ou de surélévation dont la surface ajoutée ne dépasse pas le 20 m², 40 m² dans les zones urbaines possédant un PLU.
- Le permis de construire concerne les constructions supérieures à 20 m² de surface. Et si la surface totale dépasse les 150 m² (depuis peu), le recours à l’architecte est obligatoire.
Passés les délais d’instruction (1 mois pour la déclaration préalable et 2 mois pour le permis de construire), la non-réponse de l’administration vaut un accord tacite.
S’il s’estime lésé, un voisin peut opposer un recours contre votre projet dans 2 mois, à compter de la date d’affichage de la demande et du récépissé de dépôt.
Ne vous inquiétez surtout pas, Camif Habitat prend en charge l’intégralité de vos travaux de surélévation. Cette prestation inclue bien évidemment les démarches administratives liées aux travaux.
Découvrez maintenant les étapes de construction d’une surélévation avec la suite de cet article !