• La création de mètres carrés en étage avec un espace libre à aménager en rez-de-chaussée
• Aucun souci d’humidité puisque l’extension n’est pas construite sur le sol. L’agrandissement sur pilotis est à choisir en zone potentiellement inondable.
• Aucune contrainte de dénivelé pour concevoir l’extension sur pilotis.
• Pas de fondations lourdes à prévoir, mais la pose de piliers solides.
• A la montagne, les extensions sur pilotis sont appréciées pour agrandir les chalets.

Bon à savoir : les pilotis peuvent être en bois, en béton ou en acier. Camif habitat saura vous conseiller sur le matériau le plus adapté à votre terrain et à votre projet.

Pour réaliser une extension sur pilotis, plusieurs étapes sont à suivre. D’abord, une étude de faisabilité doit être réalisée pour s’assurer de la viabilité du projet. Cette étape permet de prendre en compte les spécificités du terrain, les risques éventuels tels que l’inondation et les contraintes liées à l’utilisation des pilotis.

Ensuite, il faut déterminer le type d’extension souhaité en fonction des besoins : salle de jeux, premier étage supplémentaire, abri pour voiture, etc. et choisir les matériaux : bois, béton ou acier.

L’aspect de l’extension doit être pensé pour s’intégrer harmonieusement à la maison existante. La dimension de l’extension est également à définir pour optimiser l’espace disponible.

Une fois toutes ces informations réunies, il est temps de réaliser les plans de l’extension et de préparer les démarches administratives nécessaires pour obtenir les autorisations de construire.

Les règles d’urbanisme en matière d’extension de maison sur pilotis sont proches de la règlementation pour une extension classique :

• Votre commune est soumise à un PLU ? Vous devrez faire une déclaration de travaux si la construction sur pilotis fait moins de 40 m² (en zone constructible et hors site patrimonial remarquable).
• Sans PLU sur votre commune, vous ferez une déclaration de travaux si l’empreinte au sol est inférieure à 20 m² (en zone constructible et hors site patrimonial remarquable ou protégé).
• Au-delà de 20 m² ou 40 m² d’empreinte au sol selon le cas, le permis de construire est obligatoire.